Ci-dessous: coëfs, clapets et portes au nord de l’île.
Ci-dessus: Ecluse à porte à l’Herbaudière, entièrement ensablée, totalement inopérante.
Ci-dessus: Ecluse à porte d’une largeur de 1,4 m à la Linière: alimentée par des pompes électriques, premier déversoir du courseau des Boeufs. Eaux pluviales et autres rejets (drainage partiel de la plaine agricole, sans traitement des eaux !)
Ci-dessus: Déversoir par busage en haut de l’estran, à l’extrémité de la rue de la Plage à la Linière.
Deuxième exutoire du courseau des bœufs. Facile d’accès, dangereux pour les enfants. Alimenté uniquement par les pompes électriques de la route du Martroger.
Evacuation des eaux pluviales (souvent polluées par les engrais artificiels de la plaine agricole, nitrates et phosphates), aucun traitement préalable des rejets.
Ci-dessus: Pompes route du Martroger.
Ci-dessus: Coëf de la Blanche.
Au milieu du superbe mur de défense contre la mer de l’abbaye de la Blanche probablement construit en 1733. Ce coëf d’une importance essentielle fonctionne par gravité, alimenté par l’important réseau de fossés et d’étangs à l’intérieur des murs de l’ancienne abbaye de la Blanche.
Ci-dessus: Coëf de la Madeleine.
Coëf ancien, fonctionne par gravité, souvent ensablé au gré des marées, nécessite un entretien régulier.
Exutoire des prairies humides au niveau de la Résistance, ainsi que d’une partie de la plaine agricole.
Inopérant le 13 janvier 2007.
Ci-dessus: Coëf de Mardi-Gras au Vieil.
Fonctionne par gravité, alimenté par « le canal », courseau fort ancien, doté en partie de murs en pierre dont l’entretien laissait à désirer. Extrémité nord d’un vaste système de fossés aboutissant à la Grande Lande (Prés Patouillards). Mai 2003, janvier 2007, entièrement ensablé, totalement inopérant.
Ci dessus: le canal du Mardi Gras.
Sa récente réhabilitation devrait efficacement amoindrir les nuisances connues lors de pluies violentes. Le coëf de Mardi Gras présentant de nombreuses et larges fissures a été réétanché. Lors des forts coefficients de marée, l’eau de mer ne remonte plus dans le canal ce qui était contraire à sa destination.
La réfection de la porte en bois de «Mardi Gras » devrait permettre d’assurer une vidange régulière du canal et aussi d’augmenter la capacité de rétention d’eaux pluviales tout en réduisant le coût de fonctionnement des pompes des Roussières.
Noirmoutier, l’Information n°53
Le canal de « MardiGras » au Vieil, fait l’objet de travaux de remise en état sur environ 80m. Ce canal très âgé réceptionne les eaux pluviales du Vieil et des Roussières et les pierres qui le constituent menacent de s’ébouler par endroits. Afin d’assurer sa solidité, il sera refait à l’aide de U de béton habillés de pierres afin de conserver son cachet.
Info en bref, juillet-août 2004